En route pour la Nouvelle Zélande. Ce sont les grandes vacances et tous les vols sont pleins; on voyage séparément. L’avion de Véronique part à l’heure et le mien a eu un délai de 4 h. Lorsque j’ai entendu mon nom dans le haut parleur, j’ai cru que j’allais être débarqué mais ouf, c’était pour un surclassement en classe Affaire. Pas de problème de voisinage, l’australien d’à côté peut être nourri aux hormones et/ou au Coca Cola, on peut s’allonger complètement.
Le voyage est agrémenté d’un menu à la carte.
On arrive dans une île, il faut déclarer et faire désinfecter tout le matériel de camping avant de passer la douane. Ici on contrôle l’immigration des « bugs ».
Au lieu de sortir de la zone de transit, on a l’impression d’entrer en scène; on se retrouve devant une série de spectateurs. Il y a des rangées de chaises pour permettre aux gens d’attendre assis les nouveaux arrivants.
heureusement que vous êtes habitués à voyager seuls, la dernière fois c’était Camille qui était seule.enfin vous finissez toujours par vous retrouver, je paniquerais. Le menu très exotique est digne d’un grand resto. Quand à la salle d’attente, on pourrait peut être s’en inspirer.