La route entre Kings Canyon et le Mac Donnell National park n’est pas goudronnée sur les premiers 100km. Elle reste cependant d’une qualité acceptable, à peine ondulée.
Elle est bordé de plantes étranges qui donnent des fruits comme des melons. Ils semblerait qu’ils sont comestibles mais que l’espèce est invasive.
La route est toute droite et raisonnablement plane, la poussière est collée par la pluie, bref les conditions de conduite sont idéales. Les panneaux préviennent tout de même les automobilistes des dangers encourus: il faut dire que dans le coin, la plupart des voitures sont conduites par des touristes qui n’ont probablement jamais vu une route gravillonnée et qui ne savent pas qu’on roule à gauche en Australie
100 km de ligne droite au milieu des fleurs. Sur la droite, le vent a façonné les dunes pour donner ces dômes à perte de vue.
Les animaux sauvages nous regardent passer.
La dimension des animaux renversés n’est plus la même; le wombat a laissé la place au cheval ou au buffle. Le balisage se fait avec les moyens du bord
Dans le désert, il arrive de voir des œuvres d’art d’une école qu’on ne peut définir mais qui utilise les slips et les soutiens-gorges comme matière première.
En quittant la ‘Larapinta Drive’ arrivant sur la « Namtjira Drive’, les paysages changent un peu. Voilà du relief.