Snowy Vale

Mike nous a invités à passer un weekend dans son chalet, Snowy Vale, une grande propriété au bord du parc national du Kosciusko. L’endroit est assez dur d’accès, un 4×4 est nécessaire, même en été.

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L’endroit a brûlé pendant les grand incendie de 2003 et il reste les squelettes blancs des arbres qui ont péri dans la catastrophe. Ils commencent cependant à tomber. A côté de Claude, on peut voir un eucalyptus qui s’est plié. Quinze ans déjà, la nature reprend le dessus même si certains animaux ne sont toujours pas réapparu.

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La propriété et grande et la proximité du parc national nous a permis de faire une belle promenade.

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Le soir venu, Bob et Mike se sont occupé du barbecue sous la pluie pendant que je répétait les morceaux de musique pour le National Folk Festival avec Margaret. Claude prenait les photos.

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Encore des boîtes

Ces boîtes à lettres, perdues en pleine campagne, sont gardées par les moutons. Leur propriétaire ont intérêt à passer les relever régulièrement sinon  les escargots se chargent de dévorer les nouvelles.
Aux alentours des villages, là où les propriétés sont plus rapprochées, la boîte à lettre est un prétexte pour réaliser des sculptures variées.

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En pleine nature

On est à 300 km de Canberra. Au bord de la Wadballiga River, une aire de pique-nique, un barbecue et un carré de pelouse suffisamment plat, l’endroit rêvé pour faire du camping.

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On est en pleine nature mais il y a tout de même tout le confort. On partage les lieux avec des oiseaux, plutôt bruyants et des Échinides (une sorte de porc-épique australien)  qui se cachent dans les arbres creux.

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Le chemin qui y mène n’est pas très large mais on se dit qu’il y a peu de chance de croiser une voiture. Évidemment, on ne savait pas que le club de Land Rover de Canberra y était en sortie pour le weekend. Nous avons tous eu une pensée pour Mike, un ami qui est parti traverser le désert avec sa Land Rover modèle 1958 ; il a déjà parcouru les 2000 km jusqu’à Coober Pedy et on lui souhaite bonne chance pour la suite.

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Congo campground

Un camping au bord d’un Inlet. Pour ceux qui ne suivent pas bien, on rappelle qu’un inlet est une rivière dont l’embouchure sur la mer est obstruée par un banc de sable.

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Le wattlebird nous fait bien comprendre qu’il faut laisser quelques miettes sur la table du petit déjeuné. Quant à l’anguille, elle s’est laissée surprendre par la marée

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Sur la plage, les éponges  et les algues participent au décors

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Les champignons d’automne

C’est le mois d’avril, c’est l’automne et la saison des champignons. Margaret, Bob et Claude sont à la recherche des champignons. Pas pour les ramasser mais pour les prendre en photo. Il y a évidemment des spécimens surdimensionnés.

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Il y a ceux qui s’accrochent après les arbres, tête en haut ou tête en bas…

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Il y en a des rouges, des blancs, des gris…

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Des coquets, des joufflus, des couronnés…

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Et des amanites.

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Festival Folk de Cobargo

Le festival Folk de Cobargo est plus modeste mais plus folklorique que celui de Canberra . Cette fois-ci il faut se trouver une place de camping par nos propres moyens. Comme d’habitude, le camping des « performers » et bien placé et bien plat mais pour les autres, il faut se débrouiller. Nous avons trouvé une place sur un terrain en pente juste à côté du panneau « Pas de camping dans cette zone » !

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Dans les allées ou sur les scènes, on en trouve pour tous les goûts, de la musique aborigène à la chanson bavaroise en passant par l’Ile Maurice.

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Puis vient le temps de remballer et de retourner travailler. Nous voyageons léger mais certains australiens utilisent les grands moyens.

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Didjeridoo

Arboretum de Bendora

C’est l’automne et la forêt se pare de milles couleurs, enfin la forêt européenne car les eucalyptus sont toujours aussi verts. Dans les montagnes de l’ACT, les technocrates ont réalisé des arboretums pour savoir quelles étaient les essences européennes et américaines qui s’acclimateraient le mieux pour l’industrie forestière. L’incendie de 2003 les a tous détruit sauf un, celui de Bendora. On y trouve des parcelles carrées, bien délimitées, contenant toutes sortes de pins, sapins et autres cyprès. Le sol est plein d’humus et les wonbats s’y font des nids douillets.

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Les pommes de pin sont évidemment hors norme.
C’est aussi  le paradis des termites qui construisent leur maison directement sur l’arbre nourricier. et les feuilles de l’eucalyptus ont séché en formant de la dentelle .

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Une cabane rudimentaire a longtemps servi de cuisine aux fonctionaires qui surveillait le lieu. Maintenant, c’est un endroit de promenade autant que d’étude.

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