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Kiwitrip – J2: Hot Water Beach

Hot water beach, un « must do ».

Pour se rappeler les vacances de notre enfance, on loue une pelle à sable. (5 dollars de l’heure et 20 dollars de caution, le commerce est lucratif mais il parait qu’il finance le groupe de secouristes de la plage)

La plage est quasi déserte sauf à un endroit particulier où il y a un rassemblement, c’est LE spot. Ce n’est pas un concours de châteaux de sable mais tout le monde s’affaire pour faire un trou. A cet endroit précis, il y a une source d’eau chaude, voire très chaude. C’est assez difficile de trouver le bon endroit pour s’installer: si on est trop près de la source, c’est intenable car l’eau est à 70°C et si on est trop loin, l’eau est froide. Après plusieurs tentatives, , on a trouvé le spa idéal pour poser nos fesses.

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Bien evidement, ne pas oublié de prendre un bain frais quand on a trop chaud

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Kiwitrip – J2: Coromandel Peninsula

Notre première étape: La péninsule de Coromandel se situe à 170 km à l’Est d’Auckland; c’est beaucoup plus vert que l’Australie. On est vraiment au pays de l’élevage mais ce qui nous intéresse ici ce sont les plages.

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Sur la route, on nous propose de voir des Kauris. Ce sont des arbres géants qui se trouvent surtout dans l’ile du Nord.

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Après un brossage de chaussures et quelques marches dans la forêt, enfin les kauris

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Kiwitrip – J1 Auckland

Tout commence par une arrivée en avion à Auckland. Le trajet de l’aéroport à la ville d’Auckland permet de découvrir un paysage plat d’où émergent quelques cratères volcaniques endormis depuis longtemps.

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Sur le mont Eden qui est à proximité immédiate du centre ville (CBD), la rose des vents nous indique Canberra à l’ouest pour  2300km, on ne parle pas de l’Europe.

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L’architecture de la ville manque d’intérêt et nous avons moins de 15 jours pour visiter les deux iles de Nouvelle Zélande donc nous allons directement chercher le Campervan de Lucky Rental qui va nous servir de maison pendant tout ce temps.

Le premier soir, nous avons prévu de dormir dans un bungalow pour permettre à Camille de se reposer après le voyage. Pas de chance, elle n’est arrivée que le lendemain matin! Les aléas du voyage.

Le  premier autochtone que nous avons rencontré est un Tui, une sorte de merle avec deux plumes blanches blanches sous le bec et qui a un drôle de chant.

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Parti voir les kiwis

En route pour la Nouvelle Zélande. Ce sont les grandes vacances et tous les vols sont pleins; on voyage séparément. L’avion de Véronique part à l’heure et le mien a  eu un délai de 4 h. Lorsque j’ai entendu mon nom dans le haut parleur, j’ai cru que j’allais être débarqué mais ouf, c’était pour un surclassement en classe Affaire. Pas de problème de voisinage, l’australien d’à côté peut être nourri aux hormones et/ou au Coca Cola, on peut s’allonger complètement.

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Le voyage est agrémenté d’un menu à la carte.
On arrive dans une île, il faut déclarer et faire désinfecter tout le matériel de camping avant de passer la douane. Ici on contrôle l’immigration des « bugs ».
Au lieu de sortir de la zone de transit, on a l’impression d’entrer en scène; on se retrouve devant une série de spectateurs. Il y a des rangées de chaises pour permettre aux gens d’attendre assis les nouveaux arrivants.

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Retour du désert rouge

Après 15 jours passés dans le désert rouge, nous approchons de Canberra qui n’a jamais paru aussi vert. J’espère que vous avez apprécié les photos, de Coober Pedy à Tennant Creek. Si on vous a épargné les mouches et autres insectes, il n’en a pas été de même pour la voiture. Deux mois plus tard, la calandre de la Exy n’est toujours pas complètement débarrassée des insectes.

 

Red-Centre-Retour
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Dundullimal Homestead

Dundullimal Homestead est située non loin de Dubo. Construite en 1840, elle était alors aux confins des terres connues. Elle appartenait à un Squatter, c’est à dire quelqu’un qui s’était installé là, parce qu’il y avait de la place, sans demander l’avis de personne et surtout pas celui des aborigènes. C’était la coutume. Plus tard sont venus les settlers qui s’installaient là où le gouvernement leur disait.

Dundullimal-Homestead-Dubbo-NSW
Dundullimal-Homestead-Dubbo-NSW
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Ce squatter là n’est pas arrivé les poches vides. C’était un homme riche et il a fait construire d’emblée une maison d’après  les plans d’un architecte italien.

Dundullimal-Homestead-Dubbo-NSW
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La Homestead est situé au milieu d’une propriété de 6500 hectares. L’ameublement intérieur est presque d’époque il montre un certain confort pour l’époque. On peut comparer aux conditions de vie des settlers des années 1960 dans le Kościuszko

Dundullimal-Homestead-Dubbo-NSW
Dundullimal-Homestead-Dubbo-NSW
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La bâtisse est construite au bord de la rivière, elle est entourée de toutes les annexes d’époques ce qui permet d’imaginer l’activité d’une « Station » au XIXème siècle.

Dundullimal-Homestead-Dubbo-NSW
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